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LadĂ©pression est une pathologie frĂ©quente qui touche prĂšs dâun adulte sur 4 dans sa vie. La prise en charge ne doit pas ĂȘtre nĂ©gligĂ©e. Cependant, il existe une multitude dâapproches possibles : mĂ©dicaments, aide psychologique mais aussi phytothĂ©rapie, acupuncture voire pratique sportive Une Ă©quipe de chercheurs internationale a passĂ©
tropdur d'etre adulte. pazkale, le 23/04/2012. J'ai 49 ans, 4 enfants et je vais mal. La vie me semble trop dure Ă gĂ©rer, je n'y arrive pas. J'ai essayĂ© d'ĂȘtre adulte, de grandir de m'intergrer Ă la sociĂ©tĂ© mais en fait j'ai toujours suivi mes envies, mes "caprices" alors que j'aurais du prĂ©voir, anticiper eetc..
LeGroupe CLINEA propose des unitĂ©s d'hospitalisation regroupant des jeunes de la mĂȘme classe d'Ăąge, ce qui facilite la vie en groupe et l'acceptation de l'aide mĂ©dicale, et permet d'offrir des soins de qualitĂ© du
E9jvtKJ. On a retrouvĂ© le prĂ©sident ! Vous me recevez ? Les studios ? Vous me recevez ? On a retrouvĂ© le PrĂ©sident ! » DressĂ© sur les cales du siĂšge arriĂšre de la moto de TF1, le reporter Ă©tait excitĂ© comme une puce, fier de pouvoir annoncer son scoop en direct lâheureux Ă©lu, qui avait momentanĂ©ment disparu, venait dâentrer au Fouquetâs ! Au Titanic », le seul client assis au comptoir Ă©tait en train dâattraper un torticolis en suivant lâescapade prĂ©sidentielle sur le petit Ă©cran, fixĂ© au dessus du bar. Il ressemblait Ă©trangement au nouveau Chef de lâEtat, petit, fĂ©brile, hargneux. De lâautre cĂŽtĂ© du zinc, le garçon, maigre, chauve et taiseux avait lâair ailleurs. Sur sa pompe Ă biĂšre, il avait dâailleurs glissĂ© un cadre oĂč on pouvait lire II faut deux ans pour apprendre Ă lire et toute une vie pour apprendre Ă se taire ». CâĂ©tait signĂ© proverbe chinois. Laure Grangier venait de sâinstaller dans la salle du cafĂ©, prĂšs de la vitrine. La tignasse courte, auburn, elle avait un visage pointu, pĂąle, des yeux lĂ©gĂšrement amandĂ©s, vairons, lâun bleu, lâautre gris. PlutĂŽt large dâĂ©paules, elle avait des seins plantĂ©s hauts et petits, une taille un peu au dessus de la norme. La jeune femme Ă©coutait vaguement la tĂ©lĂ© et pensa Ă Alain ; elle se dit quâil devait ĂȘtre effondrĂ©. Quand elle lâavait quittĂ©, tout Ă lâheure, on ne connaissait pas encore le rĂ©sultat. A tous les coups, il devait Ă prĂ©sent se faire un bourdon de tous les diables. Et elle qui lâavait laissĂ© seul, un soir comme ça, en inventant un bobard pas possible pour prendre la tangente. Claude Passage lâavait appelĂ©e en fin dâaprĂšs midi CâĂ©tait la premiĂšre fois quâil lui tĂ©lĂ©phonait chez elle, un week-end en plus, en exigeant de la voir sur le champ. Dâordinaire, il Ă©tait autrement prudent, et patient. Faut ABSOLUMENT quâon se voit ! » avait-t-il lĂąchĂ©, sur le ton du naufragĂ© qui rĂ©clame une bouĂ©e. â Câest pas possible, chuchota-t-elle. â Trouve une raison pour sortir ! â Je peux pas. Au salon, Alain sâimpatientait dĂ©jĂ â Câest qui ? â Câest le boulot, chĂ©ri ! cria-t-elle Ă la cantonade, câest le boulot, avant de reprendre le combinĂ©, y glissant, mezzo voce â Je peux pas, je te dis ! â DĂ©brouille toi, merde ! Elle ne lâavait jamais connu aussi grossier. Ils sâĂ©taient croisĂ©s deux jours plus tĂŽt, Ă lâhĂŽtel du parc, pour leur rendez-vous hebdomadaire. Il nâavait alors rien manifestĂ© de particulier. Quelle mouche le piquait ? Pourquoi violait-il soudain leurs rĂšgles de conduite. â On se retrouve au Titanic » ! Elle rĂ©sista. Il insista. Elle le sentit menaçant, violent. Elle cĂ©da. On a gagnĂ© ! » marmonnait le poivrot du bar, en agitant son verre comme un briquet pendant un concert. Claude venait dâarriver. Localier Ă Ouest France » pour la rĂ©gion de Nantes, il Ă©tait lâamant de Laure depuis des annĂ©es. ll connaissait Alain par ailleurs. Le journaliste avait fait ses Ă©tudes avec lui et les deux hommes se voyaient rĂ©guliĂšrement dans le cadre de lâamicale des anciens du collĂšge St Leu. Les rencontres organisĂ©es par cette association Ă©taient surtout un prĂ©texte Ă beuveries. â Tâes con ou quoi ? depuis quand tu me convoques comme ça ? quâest-ce que tu veux au juste ? â Te voir ! â Ce soir ? â Oui ce soir â Ăa pouvait pas attendre ? â Non, ça pouvait pas. Câest lâaffaire du siĂšcle. Mireille Mathieu venait dâattaquer la Marseillaise, place de la Concorde et le pochtron, toujours scotchĂ© Ă lâĂ©cran, insensible au trĂ©molo patriotique, beuglait Mais oĂč elle est, CĂ©cilia ? CECILIA ! CECILIA ! » Claude Ă©tait un rouquin au visage Ă©nergique, un front large, des pommettes rapprochĂ©es, un menton volontaire, le tout surmontant un corps trapu, une plastique de lutteur mais un look de dandy. Ce soir il avait pourtant un air que Laure ne lui connaissait pas. Certes, il Ă©tait toujours aussi bien sapĂ©, costar marine impeccable, veste croisĂ©e, chemise blanche col italien, cravate bleue. A cĂŽtĂ© dâAlain, genre silhouette enrobĂ©e et traits du visage affaissĂ©s, adepte permanent du survĂȘt, il nây avait pas photo. Mais, Ă cet instant, Claude semblait comme dĂ©semparĂ©, sans doute en raison de sa surexcitation. â Câest quoi, ton plan ? Mais ça va pas, non ? Et fais vite, faut que je rentre. Alain mâattend, il doit ĂȘtre dans un Ă©tat, avec lâĂ©lection de lâautre, je te dis pas. â Il attendra ! Il ne lui avait jamais parlĂ© sur ce ton. â Tu me joues quoi lĂ ? â Jâai besoin de toi ! Absolument ! â Tu mâexpliques ? Elle regarda son amant, remontĂ© Ă bloc. " Les journalistes, tu sais, sont un peu flics sur les bords⊠â Ăa veut dire ? â Que je sais des choses ! â Et encore ? â Moutiers⊠Moutiers-en-Retz Ă©tait la ville voisine dont Laure Ă©tait originaire. â Quoi Moutiers ? â La villa Folie⊠Elle voyait trĂšs bien. Laure bossait dans une agence immobiliĂšre. La villa en question avait Ă©tĂ© mise en vente depuis des mois mais les proprios en demandaient un prix exorbitant et on ne trouvait pas preneur. CâĂ©tait une incroyable demeure, isolĂ©e, un peu Ă lâĂ©cart de la citĂ©, au bout dâune impasse qui donnait sur la Clemenceau, lâavenue du bord de mer. La villa avait quasiment les pieds dans lâeau. Ce quâelle voyait moins bien, en revanche, câest pourquoi son amant parlait de maniĂšre aussi allusive. " Ăa serait bien que tu lui rendes visite. â A qui ? â A la villa. â Visiter la villa ? La villa Folie ? â Oui â Pourquoi ? et quand ? Sâentendit-elle rĂ©pondre machinalement. â Ce soir ! â Ce soir ?! mais en quel honneur ? Tu dĂ©bloques complĂštement, mon vieux ! Tu mâas pas fait venir pour ça, jâespĂšre ?! â Affirmatif. Pour un ballot ! â Un ballot ? Un ballot⊠Elle pensa Ă son Alain de mari, un dĂ©pressif de naissance, abonnĂ© aux CDD et autres stages bidon, son grand mou, son Ă©ternel incertain mais quâelle aimait bien, malgrĂ© tout. Elle en aurait presque souri. Le journaliste ne la laissa guĂšre rĂȘvasser. Passage lui tendit un papier froissĂ©. CâĂ©tait une dĂ©pĂȘche de lâAgence France Presse. " Lâinfo est tombĂ©e ce midi. Mais la gendarmerie, dĂ©marche assez inhabituelle de sa part, il faut bien le reconnaĂźtre, a demandĂ© Ă la rĂ©daction de ne pas la publier." Le texte disait " Un promeneur vient de trouver, sur la plage des Moutiers en Retz, un ballot Ă©chouĂ© en bord de mer, dâune vingtaine de kilos. IntriguĂ©, il en perça la carapace caoutchoutĂ©e ; le colis contenait de la cocaĂŻne". " Câest quoi, ce dĂ©lire ? Pourquoi tu me montres ça ? â Câest pas un dĂ©lire, Lis la suite ! " Le temps dâavertir les gendarmes, le ballot avait disparu." â Quâest-ce que ça veut dire ? â Les naufrages de drogue, tâas jamais entendu parler ? â La drogue, câest pas vraiment mon truc. A la tĂ©lĂ©, Enrico Macias et Bigard venaient de donner un coup de main, ou de gueule plus exactement, Ă Mireille Mathieu en entonnant Ă leur tour le refrain de lâhymne national. â Pourriez pas faire moins fort, demanda Laure au barman. â On est en dĂ©mocratie, non ? on est ENCORE en dĂ©mocratie, que je sache, Ă©ructa le nabot du zinc. Le citoyen Ă le droit de savoir. La transparence, madame⊠Elle nâ insista pas. La drogue, expliqua Passage en baissant le ton, prend souvent le bateau pour arriver en Europe. Il arrive que les trafiquants soient surpris par un contrĂŽle inopinĂ© en pleine mer. Ils lĂąchent alors le butin dans lâeau. Lequel finit par arriver, en vrac, sur les plages atlantiques. Paquet aprĂšs paquet. Ces derniĂšres semaines, on avait trouvĂ© des ballots Ă Lacanau en Gironde, dans le Saintonge, en VendĂ©e ; le reste de la cargaison arrive Ă prĂ©sent dans la rĂ©gion. Il fit une pause ; elle le regardait, perplexe. Il poursuivit un bateau colombien a dĂ» avoir un problĂšme, voilĂ un mois, du cĂŽtĂ© de lâEspagne. Et depuis, dit-on, une tonne de blanche se balade, de Bayonne Ă Nantes, surfant au grĂ© des vagues, hĂ©sitant sur lâendroit oĂč accoster. De la pure de chez pure, super concentrĂ©e, qui sera ensuite coupĂ©e et recoupĂ©e avant dâĂȘtre vendue dans la rue. Un petit bijou conditionnĂ© au poil dans dâĂ©paisses couches de sacs hermĂ©tiques et du caoutchouc. Et tout ça Ă la disposition du premier qui la trouvera. "GĂ©nial, non ?" Passage sâĂ©chauffait. Laure, Ă cran, attendait la suite. " Les gendarmes pensent que le colis nâa pas quittĂ© Moutiers. Tu me demandes pas pourquoi ? â Pourquoi ? â Parce quâune de leurs patrouilles, Ă la mi journĂ©e, stationnait sur la Clemenceau. ZâĂ©taient lĂ pour un contrĂŽle alcootest⊠â Auraient mieux fait de traquer les droguĂ©s ! â Exact ! Surtout quâils se sont pas foulĂ©s. Personne ne serait passĂ© par lĂ de lâaprĂšs midi ; Ă croire que tout le monde poirotait dans les bureaux de vote. Au fait, tâas votĂ© ? Pour qui ? â Fais pas chier ! â Je rigolais. â Et les gendarmes, ils pensent quoi ? â Les enquĂȘteurs de la section recherche de la gendarmerie, la SR de la rĂ©gion chargĂ©e de lâaffaire, pensent que le ballot est restĂ© dans le coin, et le seul endroit oĂč on aurait pu le planquer, câest dans la villa Folie. Evidemment, câest secret dĂ©fense, off record, motus et bouche cousue, croix de bois croix de fer, etc⊠Sauf pour toi et moi. â Pourquoi tu me dis tout ça ? En quoi ça me concerne ? â Parce quâĂ mon avis, ça devrait pas ĂȘtre trop difficile pour quelquâun comme toi de visiter lâendroit, vite fait bien fait. Ce soir, il nây a personne dans les parages. Les gendarmes ne sont pas lĂ ; dĂ©jĂ quâils ont du mal Ă dĂ©nicher le juge pour leur dĂ©livrer un mandat ; en plus, ils sont tous mobilisĂ©s Ă la prĂ©fecture avec la prĂ©sidentielle. Conclusion la maison Folie, pendant quelques heures, est Ă prendre. Il y a une fenĂȘtre de tir idĂ©al, comme on dit ; et toi, tâas les clĂ©s de la villa, non ? â Dâabord, jâai pas les clĂ©s, pas ici en tout cas. Ensuite pourquoi moi ? Tâas quâĂ y aller, toi ? Tâescalades le mur dâenceinte et câest bon. â Moi ? Tu me vois escalader ? Jâai le vertige sur une chaise, alors Ă califourchon sur un pignon, non, merci.. Je suis pas un grimpeur, moi ! Pas comme toiâŠEt puis, je peux pas quitter longtemps mon job, surtout un jour comme aujourdâhui, en plein cirque Ă©lectoral. Retenu Ă lâentrĂ©e du Fouquetâs, le reporter Ă moto nâavait rien Ă se mettre sous la dent ; aussi se contentait-il dâĂ©numĂ©rer la longue liste des sponsors du nouveau patron qui, plus chanceux que lui, accĂ©daient Ă la fastueuse brasserie, politiciens des beaux quartiers, affairistes flamboyants et surtout stars du show-biz. Laure nâĂ©coutait pas, elle hĂ©sitait â Franchement, je comprends pas pourquoi ta gendarmerie se montre si discrĂšte. Elle est curieuse, ton affaire, tu sais⊠â Dâabord, câest pas ma gendarmerie. Et puis, ils veulent surtout pas de pub. Surtout pas ! Câest pourquoi ils nous ont recommandé⊠en fait ils nous ont interdit dâĂ©crire sur le sujet. Ils tiennent pas Ă voir rameuter tous les maquignons et autres malfrats des environs. Par lâodeur de la blanche allĂ©chĂ©s, tu comprends ? Sur un coup pareil, des tordus sont capables de venir des quatre coins du pays, et mĂȘme de Medellin, si tu vois ce que je veux direâŠ" La jeune femme nâĂ©tait pas convaincue. " Ecoute, Claude, jâen ai rien Ă foutre de ton histoire. Je comprends mĂȘme pas pourquoi tu me parles de ça. Pourquoi je devrais marcher dans la combine ? â Si, si, tu vas marcher ! â Ha oui, et pourquoi ? Dis moi, un peu. â Pour Alain ! â Quoi Alain ? â Tu ne veux tout de mĂȘme pas quâAlain soit au courant de nos relations ! â De quoi ? â Tâas bien entendu ! â Tu⊠tu lui dirais ? â Je lui dirais ! â Tâes devenu complĂštement fou â Oui â Et pourquoi tu ferais ça ? â Le pognon, ma poule, le pognon, beaucoup de pognon⊠Ma poule ?!l se prenait pour un mac, maintenant ! La jeune femme sentit une petite dĂ©charge dâadrĂ©naline lui parcourir lâĂ©pine dorsale. Du regard, elle fit une nouvelle fois le tour du bistrot, comme si elle craignait que quelquâun ait pu entendre ce qui venait de se dire entre eux. Mais il nây avait rien Ă signaler de particulier. Le barman affichait toujours une sĂ©rĂ©nitĂ© toute Ă©preuve, zen cinq Ă©toiles, il Ă©tait ; il regardait sans le voir son vis-Ă -vis avinĂ© qui opinait en regardant la manif de soutien Ă son nouveau prĂ©sident, place de la Concorde. Le journaleux continuait sur sa lancĂ©e â Il y a plein dâoseille en jeu, de lâosier, des boules, de lâaspine, de lâartiche, du grisbi, du fric, du flouze, du pĂšze, du carbure, de la fraĂźche. En quelle langue je dois te le dire ? Et il y en a un max pour toi aussi, je te signale ! Laure Ă©tait tourneboulĂ©e. Elle avait besoin de se mettre les idĂ©es en place. La jeune femme y tenait Ă son Alain ; il avait un cĂŽtĂ© cucul la praline, laxiste, oblomovien » câĂ©tait le mot, fataliste et passif comme le fameux personnage de lâĂ©crivain russe Gontcharov. Et plutĂŽt manchot au lit. En mĂȘme temps, ce type, bizarrement, la calmait, la rassurait, lâapaisait. Mieux il la cadrait. Cela ne sâexpliquait pas, câĂ©tait comme ça. Sans lui, elle se serait dispersĂ©e dans la nature, Ă©parpillĂ©e, Ă©miettĂ©e - mais ça, elle ne le lui dirait jamais. Elle avait fini par sâattacher Ă ce drĂŽle de bonhomme. Pas question de le perdre. Lui de son cĂŽtĂ© semblait attachĂ© au couple quâils avaient fini par former. Claude la tenait avec son chantage. Et puis, elle commençait Ă se dire quâun peu dâargent de rab, ces temps ci, ça ne ferait pas de mal. Ils tiraient le diable par la queue depuis lâhiver dernier. Peut-ĂȘtre mĂȘme quâelle pourrait payer Ă son mec cette croisiĂšre en MĂ©diterranĂ©e dont il avait toujours rĂȘvĂ©âŠ. Sa dĂ©cision Ă©tait quasiment prise elle Ă©tait dâaccord, elle irait chercher le baluchon de Claude, elle rĂ©cupĂ©rerait sa part et aussitĂŽt aprĂšs elle plaquerait son amant ; ce type devenait trop dangereux. " Faut faire vite, reprit le localier, devinant quâil Ă©tait en train dâemporter le morceau. Et puis arrĂȘte de faire la gueule, je te lâai dit, tâauras ta part ! Une belle part ! â La drogue , je mâen fous, je te rĂ©pĂšte ! â Moi aussi, figure toi. Simplement je te signale quâun ballot de ce genre, câest le pactole, ma vieille ! Ce genre de colis peut nous rapporter⊠devine combien ? Elle ne rĂ©agit pas ; il lui chuchota Ă lâoreille â Un million dâeuros ! Elle opina sans bien comprendre, les yeux Ă©carquillĂ©s ; il redit dans un soupir â Un million ! tâas bien entendu ? un million dâeuros ! Sept millions de francs ! Sept cent millions dâanciens francs ! Il se trĂ©moussait sur sa chaise comme sâil Ă©tait pris dâune envie pressante. â Un million le ballot ! On fera moitiĂ© moitiĂ© ! Ăa faisait beaucoup dâinformations Ă digĂ©rer en peu de temps. Laure la jouait dĂ©tachĂ©e mais un vertige la travaillait. â Câest pas une bonne affaire, ça ? gloussait le journaleux, dâune voix Ă©touffĂ©e. Un demi million dâeuros pour ta pomme⊠et pour Alain ! Tây penses Ă Alain ? Et pourquoi tout ce fric ? Pour une petite heure de boulot, Ă tout casser ! Dans un coin peinard en plus ! Alors ? â Alors quoi ? â OK ? â ?! â Tu veux que je lâappelle ? Souriant, il fit mine de tĂ©lĂ©phoner. â Ordure ! â Alors ? â OK. A la tĂ©lĂ©, câĂ©tait un dĂ©filĂ© ininterrompu dâacteurs et de mannequins, dâhumoristes et de chanteurs, de modistes et dâabonnĂ©s de la Star Ac, tous rayonnants et faisant le V de la victoire, avant de sâengouffrer au Fouquetâs. Laure se surprit Ă regarder lâĂ©cran. Avec lui, se dit-elle, ça va ĂȘtre le pouvoir du people, pour le people, par le people » . â Bien ! Reprit Claude, donc tu nous fouilles la villa, tu trouves le ballot, il doit ressembler à ça. Il lui fit passer une photo montrant un paquet boudinĂ©, sorte de gros ballon boursouflĂ© " Tu me le rapportes. Je serai, aprĂšs le bouclage, vers une heure du mat, sur lâĂšre de repos Clemenceau, Ă la sortie de Moutiers, tu vois oĂč câest ? Elle acquiesça en grognant. Il lui tapota le bras, regarda sa montre. â Faut que je retourne fissa au bureau Alors, Ă tout Ă lâheure ! Regardant partir Passage, Laure se dit quâelle aurait du se mĂ©fier des rouquins. Judas avait les cheveux roux, disait jadis le curĂ© au catĂ©chisme. Quelques minutes plus tard, elle abandonnait Ă son tour le Titanic » alors que le zombie du bar beuglait Ă nouveau On a gagnĂ© ! ». En montant dans sa R5 blanche, dĂ©cidĂ©ment passĂ©e de mode, elle se promettait de demander, une prochaine fois, Ă lâimpavide serveur qui avait choisi le nom de ce bar et pourquoi⊠La villa Folie Ă©tait Ă dix minutes maximum par la nationale. Sur le chemin, elle sâen voulut dâavoir cĂ©dĂ© si vite au journaliste. Peut ĂȘtre aurait-elle mieux fait de tout dire Ă son mari Ă propos de Claude. Si elle avait refusĂ© le chantage du journaleux, probablement que ce dernier se serait Ă©crasĂ© ? quâil nâaurait pas mis sa menace Ă exĂ©cution ? qui sait ? En mĂȘme temps elle Ă©tait lancĂ©e ; la perspective dâun demi million dâeuros â elle rĂ©pĂ©tait Ă haute voix ces mots, un demi million dâeuros », histoire de se les mettre en bouche, de les sucer comme un bonbon acidulĂ© - ce soir mĂȘme, la troublait drĂŽlement ; ils pourraient sâen taper des croisiĂšres sur la grande bleue ! Laure nâeut guĂšre le temps de trop turbiner. Elle venait dâentrer dans Moutiers, la mer Ă©tait en vue, la villa Folie itou. Elle quitta la ClĂ©menceau, sâengagea dans le chemin privĂ©, contourna la demeure bourgeoise, lâabordant du cĂŽtĂ© de la plage. Ce nâĂ©tait pas trĂšs prudent mais elle ne voulait pas se garer trop loin, au risque de se trimbaler Ă pied ensuite un colis de⊠vingt kilos, câest ce quâavait laissĂ© entendre Claude. Et puis elle comptait utiliser son vĂ©hicule comme marche pied. Elle lâimmobilisa tout prĂšs du mur dâenceinte, presque Ă le frĂŽler. La villa Folie Ă©tait une curiositĂ©, une folie comme on disait aussi, dâoĂč son surnom dans la rĂ©gion, une sorte de chĂąteau gothique miniature, en pierres dâun rouge vif. Le palais semblait sorti dâun conte de fĂ©es avec ses remparts crĂ©nelĂ©s, ses tours en poivriĂšre, ses toits coniques, ses meurtriĂšres, ses Ă©chauguettes et autres encorbellements. Un caprice de milliardaire anglais, croyait-elle savoir, entourĂ© dâun haut mur au sommet duquel , dĂ©tail plutĂŽt vulgaire, des tessons de bouteille, toutes griffes dehors, attendaient lâintrus. Il nây avait personne en vue sur la plage. A cette heure, ils devaient tous ĂȘtre devant leur petit Ă©cran pour suivre lâintronisation du clan de Neuilly. A lâunisson, le rivage, la mer et le ciel passaient doucement du bleu au gris, tout un dĂ©gradĂ© de gris Ă mesure que le soir avançait, gris clair et gris foncĂ©, gris perle et gris souris, gris ardoise et gris anthracite. Munie dâun plaid rĂ©cupĂ©rĂ© dans le coffre, Laure grimpa sur le toit de la voiture. De lĂ , ce fut un jeu dâenfant dâatteindre le sommet du mur ; elle se protĂ©gea des bouts de verre avec la couverture, enjamba lâobstacle et se laissa tomber. Elle devait faire vite, la R5 nâallait pas manquer dâattirer lâattention. La demeure Ă©tait vide, comme prĂ©vu. Enfin presque le jardin Ă©tait devenu le royaume des chats. Il y en avait partout, des petits, des gros, des noirs, des blancs, des poils ras et des touffus, des silencieux et des rĂąleurs, des distinguĂ©s et des lourdauds, des joueurs et des lascifs. Lâapparition de la jeune femme perturba Ă peine la tribu. AprĂšs un mouvement de repli, les fĂ©lins reprirent peu Ă peu possession de leur territoire. Elle fit au pas de course le tour du propriĂ©taire. Ce fut vite fait les portes et les fenĂȘtres du rez de chaussĂ©e Ă©taient hermĂ©tiquement closes ; la cave semblait le maillon faible comme elle sây attendait. "Serrure dâamateur" sourit-elle en crochetant le mĂ©canisme. Le sous-sol Ă©tait une grande piĂšce voĂ»tĂ©e, rĂ©amĂ©nagĂ©e en salle de projection. Laure se rappela que le proprio, plutĂŽt accro de films noirs, Ă©tait un homme de goĂ»t. Au sommet dâune pile de DVD trĂŽnait "Brazil" de Terry Gillian, 1985. Un must ! Laure Ă©tait presque tentĂ©e de le regarder⊠Se ressaisissant, elle se dit quâelle faisait fausse route si magot il y avait, le voleur, enfin lâautre voleur, nâavait guĂšre eu le temps, ce matin, de planquer son bien ; il avait agi dans la prĂ©cipitation. La chose devait donc plutĂŽt traĂźner dans le jardin. Elle revint sur ses pas. Le coin, Ă lâabandon, Ă©tait un vaste fouillis vĂ©gĂ©tal, une mini jungle Ă chats. Laure concentra ses recherches sur les abords du mur dâenceinte ; elle longea Ă plusieurs reprises la clĂŽture, bordĂ©e par un fatras de fougĂšres arborescentes, de ronces et dâherbes folles. Ce nâest quâau troisiĂšme passage quâelle vit lâobjet. Il pouvait parfaitement passer inaperçu, enfoui quâil Ă©tait au beau milieu dâun Ă©pais rosier sauvage ; le ballot, dâune vague coloration verdĂątre, sans doute Ă la suite de son sĂ©jour prolongĂ© en mer, se fondait en effet dans le dĂ©cor. Comme elle le pensait, celui qui avait manipulĂ©, hier, le colis sâĂ©tait contentĂ© de jeter sa prise par dessus le mur. Comment avait-il procĂ©dĂ© ? MystĂšre. Le paquet avait Ă©tĂ© lĂ©gĂšrement dĂ©chirĂ© par un morceau de verre et une fine traĂźnĂ©e de poudre Ă©tait rĂ©pandue Ă terre, sur le passage dâailleurs dâune colonne de fourmis ; les besogneuses avaient dĂ©jĂ commencĂ© Ă rĂ©cupĂ©rer une part du butin. Laure sourit en sâimaginant la fourmiliĂšre en folie, frĂŽlant lâoverdose. Une Ă©chelle se trouvait Ă lâentrĂ©e de la cave ; la jeune femme la posa sur le mur, lĂ oĂč elle avait laissĂ© le lainage, puis sâĂ©china Ă monter le colis au sommet, quâelle reposa sur le plaid avant de le pousser de lâautre cĂŽtĂ© de lâenceinte. elle entendit un vilain bruit de tĂŽle froissĂ©e et se dit que lâobjet Ă©tait arrivĂ© Ă bon port. A son tour, elle enjamba le mur, se rĂ©cupĂ©rant sur sa Renault. Elle repĂ©ra aussitĂŽt une prĂ©sence Ă©trangĂšre. Sur la plage, un trĂšs jeune enfant, non loin de la voiture, Ă©tait absorbĂ© par la construction dâun pĂątĂ© de sable, gazouillant et apparemment indiffĂ©rent Ă ses gesticulations. Quâest ce quâil foutait lĂ , Ă cette heure, le moutard ? PaniquĂ©e, elle chercha lâadulte qui devait nĂ©cessairement accompagner le gnard. Personne. Elle sâoccupa alors du ballot. Il avait salement amochĂ© le capot. Elle ne sentait pas sa force et eut vite fait de planquer sa proie dans le coffre. Elle faillit oublier le plaid qui sâĂ©tait accrochĂ© aux tessons et dut sauter comme une damnĂ©e pour le faire tomber, ce qui eut le don de faire rire lâenfant qui venait de la remarquer. GlacĂ©e, Laure se prĂ©cipita, sans se retourner, au volant de la Renault, dĂ©marra en trombe et contourna la maison Folie dans un beau dĂ©rapage contrĂŽlĂ©. Elle eut juste le temps de voir, dans le rĂ©troviseur, lâenfant, toujours parfaitement seul. CâĂ©tait une bonne chose. Sur la Clemenceau, elle stationna sur une aire de repos, Ă lâabri des regards. Personne ne lâavait suivi. Elle poussa un terrible cri de victoire en boxant le volant comme une malade. Toute lâopĂ©ration nâavait guĂšre durĂ© plus dâune demi-heure. Elle se sentit soudain habitĂ©e par une mĂ©chante fatigue dans tous les membres, dans les Ă©paules aussi, et laissa passer un long tremblement nerveux ; elle avait dĂ©jĂ Ă©prouvĂ© ce genre de dĂ©compression, la derniĂšre fois par exemple oĂč elle avait fait de lâescalade. Elle mit la radio sans mĂȘme sâen rendre compte. Il y Ă©tait question du PrĂ©sident sur toutes les chaĂźnes et les mĂȘmes Ă©pisodes Ă©taient racontĂ©s avec les mĂȘmes mots. Chier. Finalement, elle tomba sur une mĂ©lodie lunaire qui lui fit le plus grand bien " The end" de Jim Morrison. AllĂ©luia ! CâĂ©tait rarissime dâentendre les Doors Ă la radio. "It is the end, my friendâŠ" Elle reprit Ă tue tĂȘte la mĂ©lodie. Ăa changeait mĂ©chamment des conneries Ă la mode. Les Doors ! Elle se dit, bĂȘtement, que câĂ©tait bon signe dâentendre cette chanson et se dĂ©tendit tout Ă fait. The end », câĂ©tait avant ou aprĂšs 68 ? Ses vieux raffolaient de cet air ; câĂ©tait leur hymne, leur cantique, peut-ĂȘtre mĂȘme la seule chose quâils lui avaient laissĂ©e en hĂ©ritage⊠Laure finit par sâendormir. Trop dâĂ©motions, trop dâefforts lâavaient lessivĂ©e. Elle rĂȘva quâelle escaladait lâentrĂ©e du Fouquetâs ; dans la brasserie, des people Ă tĂȘte de fourmis jouaient au volley avec des ballots Ă demi dĂ©chirĂ©s qui laissaient sâĂ©chapper des petits nuages de poudre blanche, qui se rĂ©pandait dans tout lâĂ©tablissement. Elle fit prise dâun fou-rire et se rĂ©veilla. Façon de parler. En fait, elle mit bien une plombe Ă Ă©merger Ă peu prĂšs. Il faisait nuit noire. Elle aurait du tĂ©lĂ©phoner Ă son mec, se reprocha-t-elle, mais elle ne savait pas trĂšs bien ce quâelle aurait pu lui raconter. Il ne devait plus ĂȘtre trĂšs loin dâune heure du matin. La tĂȘte dans le coton, elle se remit en route. Direction le parking indiquĂ© par le localier. Lâesplanade Ă©tait dĂ©serte Ă lâexception de la 4x4 du journaliste, garĂ©e sous un lampadaire qui diffusait une flaque de lumiĂšre orangĂ©e. La portiĂšre du conducteur Ă©tait ouverte. Le rouquin, au volant, somnolait, la tĂȘte renversĂ©e. Laure, toujours un peu vasouillarde, pensa quâil devait ĂȘtre sacrĂ©ment Ă©puisĂ© pour dormir ainsi ou alors quâil Ă©tait bigrement cool. Elle ressentit comme une bouffĂ©e dâindulgence pour ce type et stationna sa Renault tout Ă cĂŽtĂ© de son vĂ©hicule. En sâapprochant, elle vit que Passage affichait un sourire un peu crispĂ©, genre lou ravi contrariĂ©, avec un troisiĂšme Ćil sur le front comme une divinitĂ© hindoue. LâĆil de Ăiva, lâĆil de la sagesse, lâoeil du cĆur, dit-on. Elle nâavait pas remarquĂ© ce dĂ©tail au cafĂ© tout Ă lâheure puis, sâavançant encore, presque Ă le toucher, elle rĂ©alisa que câĂ©tait en fait un beau trou rouge qui lui ornait le frontal. Elle recula dâeffroi, trĂ©buchant sur quelquâun qui se trouvait juste derriĂšre elle. Elle nâavait pourtant remarquĂ© personne dâautre en arrivant. La jeune femme hurla en se retournant et Ă©touffa aussitĂŽt son cri. Alain ! Son Alain Ă©tait lĂ , concentrĂ©, calme. Son abonnĂ© au chĂŽmage affichait un air de justicier souverain. Il la regarda Ă peine puis, contemplant le journaliste, lĂącha " Le ballot !" Machinalement, elle dĂ©signa le coffre de sa voiture oĂč se trouvait lâobjet. Mais Ă©tait-ce bien ce quâil avait voulu dire ? Lui avait-il mĂȘme demandĂ© quelque chose ? Elle nâen Ă©tait pas sĂ»re, soudain intriguĂ©e par cette odeur Ă©cĆurante qui flottait dans lâair. Laure remarqua alors quâAlain tenait un bidon. Avec assurance, il aspergea le vĂ©hicule du localier ; il affichait la gravitĂ© dâun ecclĂ©siastique bĂ©nissant un catafalque. Elle Ă©tait incapable dâarticuler le moindre mot. "Reprends le volant" lui ordonna-t-il. Soumise, elle sâassit comme un automate et le regarda faire. Elle pensa Ă un mouton enragĂ©, câest lâimage qui lui vint Ă lâesprit, un mouton enragĂ©. Lequel ruminant contournait Ă prĂ©sent sans hĂąte le 4x4, terminant son cĂ©rĂ©monial dâexorciste puis jeta le bidon vide sur le siĂšge avant de la Jeep. Alain ?! Elle ne pouvait dĂ©tacher ses yeux du visage replet de son compagnon, traversĂ© par une dĂ©termination tout Ă fait inhabituelle. On avait mĂ©tamorphosĂ© son Alain. Elle faisait face Ă un mutant qui ressemblait Ă son homme, parlait comme son homme, avait les rondeurs de son homme mais Ă©tait-ce vraiment son homme ? Ou alors, ou alors⊠Il sortit un vieux briquet Ă mĂšche de sa poche, un zippo quâil alluma avec dĂ©sinvolture. Ou alors, il savait ? Mais il savait quoi ? Il savait tout ? Sur elle et Claude ? Et depuis quand ? Depuis toujours ? Et pour ce soir ? quâest-ce quâil avait vu au juste ? lâavait-il suivie ? ou pistait-il le journaliste ? Un tournis la fit vaciller. Alain balança son briquet allumĂ© sur les genoux de Passage puis vint, tranquillement, sâasseoir Ă cĂŽtĂ© dâelle. Il y eut une sorte dâexplosion Ă©touffĂ©e, une implosion plus exactement, un lĂ©ger dĂ©placement dâair suivi du surgissement instantanĂ© dâune torche. La silhouette de Claude disparut vite au milieu de la tourmente. Alain posa sa main sur celle de Laure et dit sur un ton complice " On rentre Ă la maison ?" Le brasier crĂ©pitait allĂšgrement alors que la radio annonçait que le prĂ©sident allait prendre quelques jours de vacances bien mĂ©ritĂ©es, du cĂŽtĂ© de Malte, sur le yacht de son ami BollorĂ©. GĂ©rard Streiff
JeĂ»ne contre la dĂ©pression comment soulager le mal-ĂȘtre en douceurLes endorphines pour se soigner par le jeĂ»nePour certains dâentre nous, nous avons un mode de vie assez hectique, le surnommĂ© mĂ©tro â boulot â dodo » qui, accumulĂ© sur plusieurs mois sans prendre de temps pour soi, peut devenir nocif pour notre santĂ©. Il est connu que le jeĂ»ne a de nombreux effets positifs sur le corps, mais il sâavĂšre quâil peut mĂȘme aider Ă lutter contre la dĂ©pression et en soulager les est-ce que ça marche ? Quand on entreprend une cure de jeĂ»ne, aprĂšs quelques jours, le cerveau libĂšre un taux Ă©levĂ© dâendorphines hormones du plaisir et on se sent tout de suite bien mieux, mĂȘme les personnes souffrant de dĂ©pression lĂ©gĂšre ou modĂ©rĂ©e. Mais parce quâun suivi de contrĂŽle par un mĂ©decin est nĂ©cessaire, un sĂ©jour dans une clinique de jeĂ»ne est recommandĂ©. Le mĂ©decin effectue alors une consultation dâentrĂ©e et est capable de mesurer le taux de dĂ©pression et de dĂ©terminer ainsi lâintensitĂ© des soins et un programme nutritionnel les patients sont lâobjet dâun suivi personnalisĂ© et sont accompagnĂ©s par un mĂ©decin et un personnel qualifiĂ© tout au long de la cure. De plus, la question de programme alimentaire se rĂšgle dâelle-mĂȘme. Les centres de cure et les hĂŽtels savent exactement pour chaque type de cure ce qui sera proposĂ© aux repas, câest-Ă -dire ce qui sera absorbĂ©, pour mener Ă la rĂ©duction du stress et de la on dĂ©cide dâutiliser le jeĂ»ne contre la dĂ©pression, on peut tout Ă fait choisir le type de cure qui convient le mieux. On trouve entre autres le jeĂ»ne thĂ©rapeutique Buchinger, la cure Schroth ou Mayr. Dâexcellents rĂ©sultats peuvent aussi ĂȘtre atteints avec les cures de rĂ©gimes acido-basiques ou les cures ayurvĂ©diques anti-stress, ou encore par une cure dĂ©tox et dĂ©pressionDes Ă©tudes prouvent que le jeĂ»ne, qui consiste Ă la suppression de toute nourriture solide pendant une pĂ©riode de temps limitĂ©e, aide Ă lutter contre la dĂ©pression. Des chercheurs ont montrĂ© quâen effet, la flore intestinale a une grande influence sur l'humeur. Une alimentation saine peut donc prĂ©venir les maladies mentales et soulager certains exemple, lors dâune cure ayurvĂ©dique, la nutrition est trĂšs importante et le sĂ©jour ne cible pas uniquement le corps. GrĂące Ă une alimentation saine et frugale et de nombreux soins, lâĂ©quilibre interne est restaurĂ© et tout est mis en Ćuvre pour un meilleur rythme alimentaire bien-ĂȘtre par la perte de poidsIl arrive que les problĂšmes de poids soient Ă lâorigine dâune dĂ©pression lĂ©gĂšre. Câest ainsi que le jeĂ»ne peut agir contre les troubles alimentaires en rĂ©tablissant des bonnes habitudes et en menant dans la plupart des cas Ă une perte de poids. Câest lâobjectif principal des sĂ©jours minceurs SpaDreams, que vous souhaitiez plus une cure minceur diĂ©tĂ©tique ou une cure minceur intensive et plus aspect cependant trĂšs important dans ces cures de jeĂ»ne contre la dĂ©pression est lâaspect bien-ĂȘtre. Tous les sĂ©jours et les soins sont individualisĂ©s Ă chaque curiste, afin de leur procurer une sensation de bien-ĂȘtre intĂ©rieur comme extĂ©rieur. Le but ? Quâils rentrent Ă la maison en se sentant lĂ©gers et relaxĂ©s !
Le groupe MGEN poursuit son engagement et innove dans le champ de la santĂ© mentale, vĂ©ritable enjeu en matiĂšre de santĂ© publique pour les annĂ©es Ă venir. Les traitements mis en Ćuvre dans les Ă©tablissements MGEN traduisent lâorientation et le souci qui ont toujours Ă©tĂ© les siens, Ă savoir la prise en compte et le respect de la personne. Il propose un rĂ©seau national coordonnĂ©, avec une offre complĂšte couvrant lâensemble du champ de la santĂ© mentale. L'Ă©tablissement de santĂ© mentale de Lyon est situĂ© dans le 3e arrondissement et accueille au sein de son hĂŽpital de jour, tous les assurĂ©s sociaux Ă partir de 16 ans. L'Ă©tablissement de santĂ© mentale de Lyon dispose Ă©galement d'un espace santĂ© jeunes, accueillant des jeunes de 16 Ă 25 ans en consultation. Population accueillie 48 places. Tout assurĂ© social Ă partir de 16 ans De 16 Ă 25 ans pour lâespace santĂ© jeunes Notre Ă©quipe Psychiatres, psychologues, infirmieres, ergothĂ©rapeutes, assistante sociale, intervenante artistique. Admission L'admission relĂšve d'une dĂ©cision mĂ©dicale. Deux Ă©tablissements sur le mĂȘme site Centre mĂ©dical et dentaire de Lyon Etablissement de santĂ© mentale de Lyon
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