LaParenthĂšse vous propose donc des sĂ©jours de remĂ©diation et des thĂ©rapies brĂšves d'une Ă  trois semaines pour soigner les troubles anxio-dĂ©pressifs et retrouver de l'Ă©nergie, une capacitĂ© de projection et d'action. sur un lieu de vie Ă  la campagne, dans un cadre conçu pour prendre du recul Ă©tablissementpour handicapĂ© moteur; accompagnement Ă  la vie sociale; Ă©tablissement avec internat ; soin de suite et de rĂ©adaptation; hospitalisation Ă  temps partiel de nuit; Toutes les prestations » Maison mĂ©dicale jean xxiii. Centre de rĂ©adaptation, de convalescence. Pass sanitaire obligatoire. Ouvert jusqu'Ă  19:00. 3 pl erasme de DĂ©pressionEmballages Maison d'accueil HĂŽtel pour jeunes HĂŽtels pour jeunes Accoucheuse Accoucheuses Cours du soir Maison de repos Voir Plus; 1 avis. Visitez notre page web; 13 Info-Turk . Rue de Pavie 53, 1000 Bruxelles Lundi 9:30 - 15:30; Presse (Agences de) depression Accoucheuse Balançoires CrĂšches Divorce Divorces Droits LadĂ©pression est une pathologie frĂ©quente qui touche prĂšs d’un adulte sur 4 dans sa vie. La prise en charge ne doit pas ĂȘtre nĂ©gligĂ©e. Cependant, il existe une multitude d’approches possibles : mĂ©dicaments, aide psychologique mais aussi phytothĂ©rapie, acupuncture voire pratique sportive Une Ă©quipe de chercheurs internationale a passĂ© tropdur d'etre adulte. pazkale, le 23/04/2012. J'ai 49 ans, 4 enfants et je vais mal. La vie me semble trop dure Ă  gĂ©rer, je n'y arrive pas. J'ai essayĂ© d'ĂȘtre adulte, de grandir de m'intergrer Ă  la sociĂ©tĂ© mais en fait j'ai toujours suivi mes envies, mes "caprices" alors que j'aurais du prĂ©voir, anticiper eetc.. LeGroupe CLINEA propose des unitĂ©s d'hospitalisation regroupant des jeunes de la mĂȘme classe d'Ăąge, ce qui facilite la vie en groupe et l'acceptation de l'aide mĂ©dicale, et permet d'offrir des soins de qualitĂ© du E9jvtKJ. On a retrouvĂ© le prĂ©sident ! Vous me recevez ? Les studios ? Vous me recevez ? On a retrouvĂ© le PrĂ©sident ! » DressĂ© sur les cales du siĂšge arriĂšre de la moto de TF1, le reporter Ă©tait excitĂ© comme une puce, fier de pouvoir annoncer son scoop en direct l’heureux Ă©lu, qui avait momentanĂ©ment disparu, venait d’entrer au Fouquet’s ! Au Titanic », le seul client assis au comptoir Ă©tait en train d’attraper un torticolis en suivant l’escapade prĂ©sidentielle sur le petit Ă©cran, fixĂ© au dessus du bar. Il ressemblait Ă©trangement au nouveau Chef de l’Etat, petit, fĂ©brile, hargneux. De l’autre cĂŽtĂ© du zinc, le garçon, maigre, chauve et taiseux avait l’air ailleurs. Sur sa pompe Ă  biĂšre, il avait d’ailleurs glissĂ© un cadre oĂč on pouvait lire II faut deux ans pour apprendre Ă  lire et toute une vie pour apprendre Ă  se taire ». C’était signĂ© proverbe chinois. Laure Grangier venait de s’installer dans la salle du cafĂ©, prĂšs de la vitrine. La tignasse courte, auburn, elle avait un visage pointu, pĂąle, des yeux lĂ©gĂšrement amandĂ©s, vairons, l’un bleu, l’autre gris. PlutĂŽt large d’épaules, elle avait des seins plantĂ©s hauts et petits, une taille un peu au dessus de la norme. La jeune femme Ă©coutait vaguement la tĂ©lĂ© et pensa Ă  Alain ; elle se dit qu’il devait ĂȘtre effondrĂ©. Quand elle l’avait quittĂ©, tout Ă  l’heure, on ne connaissait pas encore le rĂ©sultat. A tous les coups, il devait Ă  prĂ©sent se faire un bourdon de tous les diables. Et elle qui l’avait laissĂ© seul, un soir comme ça, en inventant un bobard pas possible pour prendre la tangente. Claude Passage l’avait appelĂ©e en fin d’aprĂšs midi C’était la premiĂšre fois qu’il lui tĂ©lĂ©phonait chez elle, un week-end en plus, en exigeant de la voir sur le champ. D’ordinaire, il Ă©tait autrement prudent, et patient. Faut ABSOLUMENT qu’on se voit ! » avait-t-il lĂąchĂ©, sur le ton du naufragĂ© qui rĂ©clame une bouĂ©e. – C’est pas possible, chuchota-t-elle. – Trouve une raison pour sortir ! – Je peux pas. Au salon, Alain s’impatientait dĂ©jĂ  – C’est qui ? – C’est le boulot, chĂ©ri ! cria-t-elle Ă  la cantonade, c’est le boulot, avant de reprendre le combinĂ©, y glissant, mezzo voce – Je peux pas, je te dis ! – DĂ©brouille toi, merde ! Elle ne l’avait jamais connu aussi grossier. Ils s’étaient croisĂ©s deux jours plus tĂŽt, Ă  l’hĂŽtel du parc, pour leur rendez-vous hebdomadaire. Il n’avait alors rien manifestĂ© de particulier. Quelle mouche le piquait ? Pourquoi violait-il soudain leurs rĂšgles de conduite. – On se retrouve au Titanic » ! Elle rĂ©sista. Il insista. Elle le sentit menaçant, violent. Elle cĂ©da. On a gagnĂ© ! » marmonnait le poivrot du bar, en agitant son verre comme un briquet pendant un concert. Claude venait d’arriver. Localier Ă  Ouest France » pour la rĂ©gion de Nantes, il Ă©tait l’amant de Laure depuis des annĂ©es. ll connaissait Alain par ailleurs. Le journaliste avait fait ses Ă©tudes avec lui et les deux hommes se voyaient rĂ©guliĂšrement dans le cadre de l’amicale des anciens du collĂšge St Leu. Les rencontres organisĂ©es par cette association Ă©taient surtout un prĂ©texte Ă  beuveries. – T’es con ou quoi ? depuis quand tu me convoques comme ça ? qu’est-ce que tu veux au juste ? – Te voir ! – Ce soir ? – Oui ce soir – Ça pouvait pas attendre ? – Non, ça pouvait pas. C’est l’affaire du siĂšcle. Mireille Mathieu venait d’attaquer la Marseillaise, place de la Concorde et le pochtron, toujours scotchĂ© Ă  l’écran, insensible au trĂ©molo patriotique, beuglait Mais oĂč elle est, CĂ©cilia ? CECILIA ! CECILIA ! » Claude Ă©tait un rouquin au visage Ă©nergique, un front large, des pommettes rapprochĂ©es, un menton volontaire, le tout surmontant un corps trapu, une plastique de lutteur mais un look de dandy. Ce soir il avait pourtant un air que Laure ne lui connaissait pas. Certes, il Ă©tait toujours aussi bien sapĂ©, costar marine impeccable, veste croisĂ©e, chemise blanche col italien, cravate bleue. A cĂŽtĂ© d’Alain, genre silhouette enrobĂ©e et traits du visage affaissĂ©s, adepte permanent du survĂȘt, il n’y avait pas photo. Mais, Ă  cet instant, Claude semblait comme dĂ©semparĂ©, sans doute en raison de sa surexcitation. – C’est quoi, ton plan ? Mais ça va pas, non ? Et fais vite, faut que je rentre. Alain m’attend, il doit ĂȘtre dans un Ă©tat, avec l’élection de l’autre, je te dis pas. – Il attendra ! Il ne lui avait jamais parlĂ© sur ce ton. – Tu me joues quoi lĂ  ? – J’ai besoin de toi ! Absolument ! – Tu m’expliques ? Elle regarda son amant, remontĂ© Ă  bloc. " Les journalistes, tu sais, sont un peu flics sur les bords
 – Ça veut dire ? – Que je sais des choses ! – Et encore ? – Moutiers
 Moutiers-en-Retz Ă©tait la ville voisine dont Laure Ă©tait originaire. – Quoi Moutiers ? – La villa Folie
 Elle voyait trĂšs bien. Laure bossait dans une agence immobiliĂšre. La villa en question avait Ă©tĂ© mise en vente depuis des mois mais les proprios en demandaient un prix exorbitant et on ne trouvait pas preneur. C’était une incroyable demeure, isolĂ©e, un peu Ă  l’écart de la citĂ©, au bout d’une impasse qui donnait sur la Clemenceau, l’avenue du bord de mer. La villa avait quasiment les pieds dans l’eau. Ce qu’elle voyait moins bien, en revanche, c’est pourquoi son amant parlait de maniĂšre aussi allusive. " Ça serait bien que tu lui rendes visite. – A qui ? – A la villa. – Visiter la villa ? La villa Folie ? – Oui – Pourquoi ? et quand ? S’entendit-elle rĂ©pondre machinalement. – Ce soir ! – Ce soir ?! mais en quel honneur ? Tu dĂ©bloques complĂštement, mon vieux ! Tu m’as pas fait venir pour ça, j’espĂšre ?! – Affirmatif. Pour un ballot ! – Un ballot ? Un ballot
 Elle pensa Ă  son Alain de mari, un dĂ©pressif de naissance, abonnĂ© aux CDD et autres stages bidon, son grand mou, son Ă©ternel incertain mais qu’elle aimait bien, malgrĂ© tout. Elle en aurait presque souri. Le journaliste ne la laissa guĂšre rĂȘvasser. Passage lui tendit un papier froissĂ©. C’était une dĂ©pĂȘche de l’Agence France Presse. " L’info est tombĂ©e ce midi. Mais la gendarmerie, dĂ©marche assez inhabituelle de sa part, il faut bien le reconnaĂźtre, a demandĂ© Ă  la rĂ©daction de ne pas la publier." Le texte disait " Un promeneur vient de trouver, sur la plage des Moutiers en Retz, un ballot Ă©chouĂ© en bord de mer, d’une vingtaine de kilos. IntriguĂ©, il en perça la carapace caoutchoutĂ©e ; le colis contenait de la cocaĂŻne". " C’est quoi, ce dĂ©lire ? Pourquoi tu me montres ça ? – C’est pas un dĂ©lire, Lis la suite ! " Le temps d’avertir les gendarmes, le ballot avait disparu." – Qu’est-ce que ça veut dire ? – Les naufrages de drogue, t’as jamais entendu parler ? – La drogue, c’est pas vraiment mon truc. A la tĂ©lĂ©, Enrico Macias et Bigard venaient de donner un coup de main, ou de gueule plus exactement, Ă  Mireille Mathieu en entonnant Ă  leur tour le refrain de l’hymne national. – Pourriez pas faire moins fort, demanda Laure au barman. – On est en dĂ©mocratie, non ? on est ENCORE en dĂ©mocratie, que je sache, Ă©ructa le nabot du zinc. Le citoyen Ă  le droit de savoir. La transparence, madame
 Elle n’ insista pas. La drogue, expliqua Passage en baissant le ton, prend souvent le bateau pour arriver en Europe. Il arrive que les trafiquants soient surpris par un contrĂŽle inopinĂ© en pleine mer. Ils lĂąchent alors le butin dans l’eau. Lequel finit par arriver, en vrac, sur les plages atlantiques. Paquet aprĂšs paquet. Ces derniĂšres semaines, on avait trouvĂ© des ballots Ă  Lacanau en Gironde, dans le Saintonge, en VendĂ©e ; le reste de la cargaison arrive Ă  prĂ©sent dans la rĂ©gion. Il fit une pause ; elle le regardait, perplexe. Il poursuivit un bateau colombien a dĂ» avoir un problĂšme, voilĂ  un mois, du cĂŽtĂ© de l’Espagne. Et depuis, dit-on, une tonne de blanche se balade, de Bayonne Ă  Nantes, surfant au grĂ© des vagues, hĂ©sitant sur l’endroit oĂč accoster. De la pure de chez pure, super concentrĂ©e, qui sera ensuite coupĂ©e et recoupĂ©e avant d’ĂȘtre vendue dans la rue. Un petit bijou conditionnĂ© au poil dans d’épaisses couches de sacs hermĂ©tiques et du caoutchouc. Et tout ça Ă  la disposition du premier qui la trouvera. "GĂ©nial, non ?" Passage s’échauffait. Laure, Ă  cran, attendait la suite. " Les gendarmes pensent que le colis n’a pas quittĂ© Moutiers. Tu me demandes pas pourquoi ? – Pourquoi ? – Parce qu’une de leurs patrouilles, Ă  la mi journĂ©e, stationnait sur la Clemenceau. Z’étaient lĂ  pour un contrĂŽle alcootest
 – Auraient mieux fait de traquer les droguĂ©s ! – Exact ! Surtout qu’ils se sont pas foulĂ©s. Personne ne serait passĂ© par lĂ  de l’aprĂšs midi ; Ă  croire que tout le monde poirotait dans les bureaux de vote. Au fait, t’as votĂ© ? Pour qui ? – Fais pas chier ! – Je rigolais. – Et les gendarmes, ils pensent quoi ? – Les enquĂȘteurs de la section recherche de la gendarmerie, la SR de la rĂ©gion chargĂ©e de l’affaire, pensent que le ballot est restĂ© dans le coin, et le seul endroit oĂč on aurait pu le planquer, c’est dans la villa Folie. Evidemment, c’est secret dĂ©fense, off record, motus et bouche cousue, croix de bois croix de fer, etc
 Sauf pour toi et moi. – Pourquoi tu me dis tout ça ? En quoi ça me concerne ? – Parce qu’à mon avis, ça devrait pas ĂȘtre trop difficile pour quelqu’un comme toi de visiter l’endroit, vite fait bien fait. Ce soir, il n’y a personne dans les parages. Les gendarmes ne sont pas lĂ  ; dĂ©jĂ  qu’ils ont du mal Ă  dĂ©nicher le juge pour leur dĂ©livrer un mandat ; en plus, ils sont tous mobilisĂ©s Ă  la prĂ©fecture avec la prĂ©sidentielle. Conclusion la maison Folie, pendant quelques heures, est Ă  prendre. Il y a une fenĂȘtre de tir idĂ©al, comme on dit ; et toi, t’as les clĂ©s de la villa, non ? – D’abord, j’ai pas les clĂ©s, pas ici en tout cas. Ensuite pourquoi moi ? T’as qu’à y aller, toi ? T’escalades le mur d’enceinte et c’est bon. – Moi ? Tu me vois escalader ? J’ai le vertige sur une chaise, alors Ă  califourchon sur un pignon, non, merci.. Je suis pas un grimpeur, moi ! Pas comme toi
Et puis, je peux pas quitter longtemps mon job, surtout un jour comme aujourd’hui, en plein cirque Ă©lectoral. Retenu Ă  l’entrĂ©e du Fouquet’s, le reporter Ă  moto n’avait rien Ă  se mettre sous la dent ; aussi se contentait-il d’énumĂ©rer la longue liste des sponsors du nouveau patron qui, plus chanceux que lui, accĂ©daient Ă  la fastueuse brasserie, politiciens des beaux quartiers, affairistes flamboyants et surtout stars du show-biz. Laure n’écoutait pas, elle hĂ©sitait – Franchement, je comprends pas pourquoi ta gendarmerie se montre si discrĂšte. Elle est curieuse, ton affaire, tu sais
 – D’abord, c’est pas ma gendarmerie. Et puis, ils veulent surtout pas de pub. Surtout pas ! C’est pourquoi ils nous ont recommandé  en fait ils nous ont interdit d’écrire sur le sujet. Ils tiennent pas Ă  voir rameuter tous les maquignons et autres malfrats des environs. Par l’odeur de la blanche allĂ©chĂ©s, tu comprends ? Sur un coup pareil, des tordus sont capables de venir des quatre coins du pays, et mĂȘme de Medellin, si tu vois ce que je veux dire
" La jeune femme n’était pas convaincue. " Ecoute, Claude, j’en ai rien Ă  foutre de ton histoire. Je comprends mĂȘme pas pourquoi tu me parles de ça. Pourquoi je devrais marcher dans la combine ? – Si, si, tu vas marcher ! – Ha oui, et pourquoi ? Dis moi, un peu. – Pour Alain ! – Quoi Alain ? – Tu ne veux tout de mĂȘme pas qu’Alain soit au courant de nos relations ! – De quoi ? – T’as bien entendu ! – Tu
 tu lui dirais ? – Je lui dirais ! – T’es devenu complĂštement fou – Oui – Et pourquoi tu ferais ça ? – Le pognon, ma poule, le pognon, beaucoup de pognon
 Ma poule ?!l se prenait pour un mac, maintenant ! La jeune femme sentit une petite dĂ©charge d’adrĂ©naline lui parcourir l’épine dorsale. Du regard, elle fit une nouvelle fois le tour du bistrot, comme si elle craignait que quelqu’un ait pu entendre ce qui venait de se dire entre eux. Mais il n’y avait rien Ă  signaler de particulier. Le barman affichait toujours une sĂ©rĂ©nitĂ© toute Ă©preuve, zen cinq Ă©toiles, il Ă©tait ; il regardait sans le voir son vis-Ă -vis avinĂ© qui opinait en regardant la manif de soutien Ă  son nouveau prĂ©sident, place de la Concorde. Le journaleux continuait sur sa lancĂ©e – Il y a plein d’oseille en jeu, de l’osier, des boules, de l’aspine, de l’artiche, du grisbi, du fric, du flouze, du pĂšze, du carbure, de la fraĂźche. En quelle langue je dois te le dire ? Et il y en a un max pour toi aussi, je te signale ! Laure Ă©tait tourneboulĂ©e. Elle avait besoin de se mettre les idĂ©es en place. La jeune femme y tenait Ă  son Alain ; il avait un cĂŽtĂ© cucul la praline, laxiste, oblomovien » c’était le mot, fataliste et passif comme le fameux personnage de l’écrivain russe Gontcharov. Et plutĂŽt manchot au lit. En mĂȘme temps, ce type, bizarrement, la calmait, la rassurait, l’apaisait. Mieux il la cadrait. Cela ne s’expliquait pas, c’était comme ça. Sans lui, elle se serait dispersĂ©e dans la nature, Ă©parpillĂ©e, Ă©miettĂ©e - mais ça, elle ne le lui dirait jamais. Elle avait fini par s’attacher Ă  ce drĂŽle de bonhomme. Pas question de le perdre. Lui de son cĂŽtĂ© semblait attachĂ© au couple qu’ils avaient fini par former. Claude la tenait avec son chantage. Et puis, elle commençait Ă  se dire qu’un peu d’argent de rab, ces temps ci, ça ne ferait pas de mal. Ils tiraient le diable par la queue depuis l’hiver dernier. Peut-ĂȘtre mĂȘme qu’elle pourrait payer Ă  son mec cette croisiĂšre en MĂ©diterranĂ©e dont il avait toujours rĂȘvé . Sa dĂ©cision Ă©tait quasiment prise elle Ă©tait d’accord, elle irait chercher le baluchon de Claude, elle rĂ©cupĂ©rerait sa part et aussitĂŽt aprĂšs elle plaquerait son amant ; ce type devenait trop dangereux. " Faut faire vite, reprit le localier, devinant qu’il Ă©tait en train d’emporter le morceau. Et puis arrĂȘte de faire la gueule, je te l’ai dit, t’auras ta part ! Une belle part ! – La drogue , je m’en fous, je te rĂ©pĂšte ! – Moi aussi, figure toi. Simplement je te signale qu’un ballot de ce genre, c’est le pactole, ma vieille ! Ce genre de colis peut nous rapporter
 devine combien ? Elle ne rĂ©agit pas ; il lui chuchota Ă  l’oreille – Un million d’euros ! Elle opina sans bien comprendre, les yeux Ă©carquillĂ©s ; il redit dans un soupir – Un million ! t’as bien entendu ? un million d’euros ! Sept millions de francs ! Sept cent millions d’anciens francs ! Il se trĂ©moussait sur sa chaise comme s’il Ă©tait pris d’une envie pressante. – Un million le ballot ! On fera moitiĂ© moitiĂ© ! Ça faisait beaucoup d’informations Ă  digĂ©rer en peu de temps. Laure la jouait dĂ©tachĂ©e mais un vertige la travaillait. – C’est pas une bonne affaire, ça ? gloussait le journaleux, d’une voix Ă©touffĂ©e. Un demi million d’euros pour ta pomme
 et pour Alain ! T’y penses Ă  Alain ? Et pourquoi tout ce fric ? Pour une petite heure de boulot, Ă  tout casser ! Dans un coin peinard en plus ! Alors ? – Alors quoi ? – OK ? – ?! – Tu veux que je l’appelle ? Souriant, il fit mine de tĂ©lĂ©phoner. – Ordure ! – Alors ? – OK. A la tĂ©lĂ©, c’était un dĂ©filĂ© ininterrompu d’acteurs et de mannequins, d’humoristes et de chanteurs, de modistes et d’abonnĂ©s de la Star Ac, tous rayonnants et faisant le V de la victoire, avant de s’engouffrer au Fouquet’s. Laure se surprit Ă  regarder l’écran. Avec lui, se dit-elle, ça va ĂȘtre le pouvoir du people, pour le people, par le people » . – Bien ! Reprit Claude, donc tu nous fouilles la villa, tu trouves le ballot, il doit ressembler Ă  ça. Il lui fit passer une photo montrant un paquet boudinĂ©, sorte de gros ballon boursouflĂ© " Tu me le rapportes. Je serai, aprĂšs le bouclage, vers une heure du mat, sur l’ùre de repos Clemenceau, Ă  la sortie de Moutiers, tu vois oĂč c’est ? Elle acquiesça en grognant. Il lui tapota le bras, regarda sa montre. – Faut que je retourne fissa au bureau Alors, Ă  tout Ă  l’heure ! Regardant partir Passage, Laure se dit qu’elle aurait du se mĂ©fier des rouquins. Judas avait les cheveux roux, disait jadis le curĂ© au catĂ©chisme. Quelques minutes plus tard, elle abandonnait Ă  son tour le Titanic » alors que le zombie du bar beuglait Ă  nouveau On a gagnĂ© ! ». En montant dans sa R5 blanche, dĂ©cidĂ©ment passĂ©e de mode, elle se promettait de demander, une prochaine fois, Ă  l’impavide serveur qui avait choisi le nom de ce bar et pourquoi
 La villa Folie Ă©tait Ă  dix minutes maximum par la nationale. Sur le chemin, elle s’en voulut d’avoir cĂ©dĂ© si vite au journaliste. Peut ĂȘtre aurait-elle mieux fait de tout dire Ă  son mari Ă  propos de Claude. Si elle avait refusĂ© le chantage du journaleux, probablement que ce dernier se serait Ă©crasĂ© ? qu’il n’aurait pas mis sa menace Ă  exĂ©cution ? qui sait ? En mĂȘme temps elle Ă©tait lancĂ©e ; la perspective d’un demi million d’euros – elle rĂ©pĂ©tait Ă  haute voix ces mots, un demi million d’euros », histoire de se les mettre en bouche, de les sucer comme un bonbon acidulĂ© - ce soir mĂȘme, la troublait drĂŽlement ; ils pourraient s’en taper des croisiĂšres sur la grande bleue ! Laure n’eut guĂšre le temps de trop turbiner. Elle venait d’entrer dans Moutiers, la mer Ă©tait en vue, la villa Folie itou. Elle quitta la ClĂ©menceau, s’engagea dans le chemin privĂ©, contourna la demeure bourgeoise, l’abordant du cĂŽtĂ© de la plage. Ce n’était pas trĂšs prudent mais elle ne voulait pas se garer trop loin, au risque de se trimbaler Ă  pied ensuite un colis de
 vingt kilos, c’est ce qu’avait laissĂ© entendre Claude. Et puis elle comptait utiliser son vĂ©hicule comme marche pied. Elle l’immobilisa tout prĂšs du mur d’enceinte, presque Ă  le frĂŽler. La villa Folie Ă©tait une curiositĂ©, une folie comme on disait aussi, d’oĂč son surnom dans la rĂ©gion, une sorte de chĂąteau gothique miniature, en pierres d’un rouge vif. Le palais semblait sorti d’un conte de fĂ©es avec ses remparts crĂ©nelĂ©s, ses tours en poivriĂšre, ses toits coniques, ses meurtriĂšres, ses Ă©chauguettes et autres encorbellements. Un caprice de milliardaire anglais, croyait-elle savoir, entourĂ© d’un haut mur au sommet duquel , dĂ©tail plutĂŽt vulgaire, des tessons de bouteille, toutes griffes dehors, attendaient l’intrus. Il n’y avait personne en vue sur la plage. A cette heure, ils devaient tous ĂȘtre devant leur petit Ă©cran pour suivre l’intronisation du clan de Neuilly. A l’unisson, le rivage, la mer et le ciel passaient doucement du bleu au gris, tout un dĂ©gradĂ© de gris Ă  mesure que le soir avançait, gris clair et gris foncĂ©, gris perle et gris souris, gris ardoise et gris anthracite. Munie d’un plaid rĂ©cupĂ©rĂ© dans le coffre, Laure grimpa sur le toit de la voiture. De lĂ , ce fut un jeu d’enfant d’atteindre le sommet du mur ; elle se protĂ©gea des bouts de verre avec la couverture, enjamba l’obstacle et se laissa tomber. Elle devait faire vite, la R5 n’allait pas manquer d’attirer l’attention. La demeure Ă©tait vide, comme prĂ©vu. Enfin presque le jardin Ă©tait devenu le royaume des chats. Il y en avait partout, des petits, des gros, des noirs, des blancs, des poils ras et des touffus, des silencieux et des rĂąleurs, des distinguĂ©s et des lourdauds, des joueurs et des lascifs. L’apparition de la jeune femme perturba Ă  peine la tribu. AprĂšs un mouvement de repli, les fĂ©lins reprirent peu Ă  peu possession de leur territoire. Elle fit au pas de course le tour du propriĂ©taire. Ce fut vite fait les portes et les fenĂȘtres du rez de chaussĂ©e Ă©taient hermĂ©tiquement closes ; la cave semblait le maillon faible comme elle s’y attendait. "Serrure d’amateur" sourit-elle en crochetant le mĂ©canisme. Le sous-sol Ă©tait une grande piĂšce voĂ»tĂ©e, rĂ©amĂ©nagĂ©e en salle de projection. Laure se rappela que le proprio, plutĂŽt accro de films noirs, Ă©tait un homme de goĂ»t. Au sommet d’une pile de DVD trĂŽnait "Brazil" de Terry Gillian, 1985. Un must ! Laure Ă©tait presque tentĂ©e de le regarder
 Se ressaisissant, elle se dit qu’elle faisait fausse route si magot il y avait, le voleur, enfin l’autre voleur, n’avait guĂšre eu le temps, ce matin, de planquer son bien ; il avait agi dans la prĂ©cipitation. La chose devait donc plutĂŽt traĂźner dans le jardin. Elle revint sur ses pas. Le coin, Ă  l’abandon, Ă©tait un vaste fouillis vĂ©gĂ©tal, une mini jungle Ă  chats. Laure concentra ses recherches sur les abords du mur d’enceinte ; elle longea Ă  plusieurs reprises la clĂŽture, bordĂ©e par un fatras de fougĂšres arborescentes, de ronces et d’herbes folles. Ce n’est qu’au troisiĂšme passage qu’elle vit l’objet. Il pouvait parfaitement passer inaperçu, enfoui qu’il Ă©tait au beau milieu d’un Ă©pais rosier sauvage ; le ballot, d’une vague coloration verdĂątre, sans doute Ă  la suite de son sĂ©jour prolongĂ© en mer, se fondait en effet dans le dĂ©cor. Comme elle le pensait, celui qui avait manipulĂ©, hier, le colis s’était contentĂ© de jeter sa prise par dessus le mur. Comment avait-il procĂ©dĂ© ? MystĂšre. Le paquet avait Ă©tĂ© lĂ©gĂšrement dĂ©chirĂ© par un morceau de verre et une fine traĂźnĂ©e de poudre Ă©tait rĂ©pandue Ă  terre, sur le passage d’ailleurs d’une colonne de fourmis ; les besogneuses avaient dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  rĂ©cupĂ©rer une part du butin. Laure sourit en s’imaginant la fourmiliĂšre en folie, frĂŽlant l’overdose. Une Ă©chelle se trouvait Ă  l’entrĂ©e de la cave ; la jeune femme la posa sur le mur, lĂ  oĂč elle avait laissĂ© le lainage, puis s’échina Ă  monter le colis au sommet, qu’elle reposa sur le plaid avant de le pousser de l’autre cĂŽtĂ© de l’enceinte. elle entendit un vilain bruit de tĂŽle froissĂ©e et se dit que l’objet Ă©tait arrivĂ© Ă  bon port. A son tour, elle enjamba le mur, se rĂ©cupĂ©rant sur sa Renault. Elle repĂ©ra aussitĂŽt une prĂ©sence Ă©trangĂšre. Sur la plage, un trĂšs jeune enfant, non loin de la voiture, Ă©tait absorbĂ© par la construction d’un pĂątĂ© de sable, gazouillant et apparemment indiffĂ©rent Ă  ses gesticulations. Qu’est ce qu’il foutait lĂ , Ă  cette heure, le moutard ? PaniquĂ©e, elle chercha l’adulte qui devait nĂ©cessairement accompagner le gnard. Personne. Elle s’occupa alors du ballot. Il avait salement amochĂ© le capot. Elle ne sentait pas sa force et eut vite fait de planquer sa proie dans le coffre. Elle faillit oublier le plaid qui s’était accrochĂ© aux tessons et dut sauter comme une damnĂ©e pour le faire tomber, ce qui eut le don de faire rire l’enfant qui venait de la remarquer. GlacĂ©e, Laure se prĂ©cipita, sans se retourner, au volant de la Renault, dĂ©marra en trombe et contourna la maison Folie dans un beau dĂ©rapage contrĂŽlĂ©. Elle eut juste le temps de voir, dans le rĂ©troviseur, l’enfant, toujours parfaitement seul. C’était une bonne chose. Sur la Clemenceau, elle stationna sur une aire de repos, Ă  l’abri des regards. Personne ne l’avait suivi. Elle poussa un terrible cri de victoire en boxant le volant comme une malade. Toute l’opĂ©ration n’avait guĂšre durĂ© plus d’une demi-heure. Elle se sentit soudain habitĂ©e par une mĂ©chante fatigue dans tous les membres, dans les Ă©paules aussi, et laissa passer un long tremblement nerveux ; elle avait dĂ©jĂ  Ă©prouvĂ© ce genre de dĂ©compression, la derniĂšre fois par exemple oĂč elle avait fait de l’escalade. Elle mit la radio sans mĂȘme s’en rendre compte. Il y Ă©tait question du PrĂ©sident sur toutes les chaĂźnes et les mĂȘmes Ă©pisodes Ă©taient racontĂ©s avec les mĂȘmes mots. Chier. Finalement, elle tomba sur une mĂ©lodie lunaire qui lui fit le plus grand bien " The end" de Jim Morrison. AllĂ©luia ! C’était rarissime d’entendre les Doors Ă  la radio. "It is the end, my friend
" Elle reprit Ă  tue tĂȘte la mĂ©lodie. Ça changeait mĂ©chamment des conneries Ă  la mode. Les Doors ! Elle se dit, bĂȘtement, que c’était bon signe d’entendre cette chanson et se dĂ©tendit tout Ă  fait. The end », c’était avant ou aprĂšs 68 ? Ses vieux raffolaient de cet air ; c’était leur hymne, leur cantique, peut-ĂȘtre mĂȘme la seule chose qu’ils lui avaient laissĂ©e en hĂ©ritage
 Laure finit par s’endormir. Trop d’émotions, trop d’efforts l’avaient lessivĂ©e. Elle rĂȘva qu’elle escaladait l’entrĂ©e du Fouquet’s ; dans la brasserie, des people Ă  tĂȘte de fourmis jouaient au volley avec des ballots Ă  demi dĂ©chirĂ©s qui laissaient s’échapper des petits nuages de poudre blanche, qui se rĂ©pandait dans tout l’établissement. Elle fit prise d’un fou-rire et se rĂ©veilla. Façon de parler. En fait, elle mit bien une plombe Ă  Ă©merger Ă  peu prĂšs. Il faisait nuit noire. Elle aurait du tĂ©lĂ©phoner Ă  son mec, se reprocha-t-elle, mais elle ne savait pas trĂšs bien ce qu’elle aurait pu lui raconter. Il ne devait plus ĂȘtre trĂšs loin d’une heure du matin. La tĂȘte dans le coton, elle se remit en route. Direction le parking indiquĂ© par le localier. L’esplanade Ă©tait dĂ©serte Ă  l’exception de la 4x4 du journaliste, garĂ©e sous un lampadaire qui diffusait une flaque de lumiĂšre orangĂ©e. La portiĂšre du conducteur Ă©tait ouverte. Le rouquin, au volant, somnolait, la tĂȘte renversĂ©e. Laure, toujours un peu vasouillarde, pensa qu’il devait ĂȘtre sacrĂ©ment Ă©puisĂ© pour dormir ainsi ou alors qu’il Ă©tait bigrement cool. Elle ressentit comme une bouffĂ©e d’indulgence pour ce type et stationna sa Renault tout Ă  cĂŽtĂ© de son vĂ©hicule. En s’approchant, elle vit que Passage affichait un sourire un peu crispĂ©, genre lou ravi contrariĂ©, avec un troisiĂšme Ɠil sur le front comme une divinitĂ© hindoue. L’Ɠil de Çiva, l’Ɠil de la sagesse, l’oeil du cƓur, dit-on. Elle n’avait pas remarquĂ© ce dĂ©tail au cafĂ© tout Ă  l’heure puis, s’avançant encore, presque Ă  le toucher, elle rĂ©alisa que c’était en fait un beau trou rouge qui lui ornait le frontal. Elle recula d’effroi, trĂ©buchant sur quelqu’un qui se trouvait juste derriĂšre elle. Elle n’avait pourtant remarquĂ© personne d’autre en arrivant. La jeune femme hurla en se retournant et Ă©touffa aussitĂŽt son cri. Alain ! Son Alain Ă©tait lĂ , concentrĂ©, calme. Son abonnĂ© au chĂŽmage affichait un air de justicier souverain. Il la regarda Ă  peine puis, contemplant le journaliste, lĂącha " Le ballot !" Machinalement, elle dĂ©signa le coffre de sa voiture oĂč se trouvait l’objet. Mais Ă©tait-ce bien ce qu’il avait voulu dire ? Lui avait-il mĂȘme demandĂ© quelque chose ? Elle n’en Ă©tait pas sĂ»re, soudain intriguĂ©e par cette odeur Ă©cƓurante qui flottait dans l’air. Laure remarqua alors qu’Alain tenait un bidon. Avec assurance, il aspergea le vĂ©hicule du localier ; il affichait la gravitĂ© d’un ecclĂ©siastique bĂ©nissant un catafalque. Elle Ă©tait incapable d’articuler le moindre mot. "Reprends le volant" lui ordonna-t-il. Soumise, elle s’assit comme un automate et le regarda faire. Elle pensa Ă  un mouton enragĂ©, c’est l’image qui lui vint Ă  l’esprit, un mouton enragĂ©. Lequel ruminant contournait Ă  prĂ©sent sans hĂąte le 4x4, terminant son cĂ©rĂ©monial d’exorciste puis jeta le bidon vide sur le siĂšge avant de la Jeep. Alain ?! Elle ne pouvait dĂ©tacher ses yeux du visage replet de son compagnon, traversĂ© par une dĂ©termination tout Ă  fait inhabituelle. On avait mĂ©tamorphosĂ© son Alain. Elle faisait face Ă  un mutant qui ressemblait Ă  son homme, parlait comme son homme, avait les rondeurs de son homme mais Ă©tait-ce vraiment son homme ? Ou alors, ou alors
 Il sortit un vieux briquet Ă  mĂšche de sa poche, un zippo qu’il alluma avec dĂ©sinvolture. Ou alors, il savait ? Mais il savait quoi ? Il savait tout ? Sur elle et Claude ? Et depuis quand ? Depuis toujours ? Et pour ce soir ? qu’est-ce qu’il avait vu au juste ? l’avait-il suivie ? ou pistait-il le journaliste ? Un tournis la fit vaciller. Alain balança son briquet allumĂ© sur les genoux de Passage puis vint, tranquillement, s’asseoir Ă  cĂŽtĂ© d’elle. Il y eut une sorte d’explosion Ă©touffĂ©e, une implosion plus exactement, un lĂ©ger dĂ©placement d’air suivi du surgissement instantanĂ© d’une torche. La silhouette de Claude disparut vite au milieu de la tourmente. Alain posa sa main sur celle de Laure et dit sur un ton complice " On rentre Ă  la maison ?" Le brasier crĂ©pitait allĂšgrement alors que la radio annonçait que le prĂ©sident allait prendre quelques jours de vacances bien mĂ©ritĂ©es, du cĂŽtĂ© de Malte, sur le yacht de son ami BollorĂ©. GĂ©rard Streiff JeĂ»ne contre la dĂ©pression comment soulager le mal-ĂȘtre en douceurLes endorphines pour se soigner par le jeĂ»nePour certains d’entre nous, nous avons un mode de vie assez hectique, le surnommĂ© mĂ©tro – boulot – dodo » qui, accumulĂ© sur plusieurs mois sans prendre de temps pour soi, peut devenir nocif pour notre santĂ©. Il est connu que le jeĂ»ne a de nombreux effets positifs sur le corps, mais il s’avĂšre qu’il peut mĂȘme aider Ă  lutter contre la dĂ©pression et en soulager les est-ce que ça marche ? Quand on entreprend une cure de jeĂ»ne, aprĂšs quelques jours, le cerveau libĂšre un taux Ă©levĂ© d’endorphines hormones du plaisir et on se sent tout de suite bien mieux, mĂȘme les personnes souffrant de dĂ©pression lĂ©gĂšre ou modĂ©rĂ©e. Mais parce qu’un suivi de contrĂŽle par un mĂ©decin est nĂ©cessaire, un sĂ©jour dans une clinique de jeĂ»ne est recommandĂ©. Le mĂ©decin effectue alors une consultation d’entrĂ©e et est capable de mesurer le taux de dĂ©pression et de dĂ©terminer ainsi l’intensitĂ© des soins et un programme nutritionnel les patients sont l’objet d’un suivi personnalisĂ© et sont accompagnĂ©s par un mĂ©decin et un personnel qualifiĂ© tout au long de la cure. De plus, la question de programme alimentaire se rĂšgle d’elle-mĂȘme. Les centres de cure et les hĂŽtels savent exactement pour chaque type de cure ce qui sera proposĂ© aux repas, c’est-Ă -dire ce qui sera absorbĂ©, pour mener Ă  la rĂ©duction du stress et de la on dĂ©cide d’utiliser le jeĂ»ne contre la dĂ©pression, on peut tout Ă  fait choisir le type de cure qui convient le mieux. On trouve entre autres le jeĂ»ne thĂ©rapeutique Buchinger, la cure Schroth ou Mayr. D’excellents rĂ©sultats peuvent aussi ĂȘtre atteints avec les cures de rĂ©gimes acido-basiques ou les cures ayurvĂ©diques anti-stress, ou encore par une cure dĂ©tox et dĂ©pressionDes Ă©tudes prouvent que le jeĂ»ne, qui consiste Ă  la suppression de toute nourriture solide pendant une pĂ©riode de temps limitĂ©e, aide Ă  lutter contre la dĂ©pression. Des chercheurs ont montrĂ© qu’en effet, la flore intestinale a une grande influence sur l'humeur. Une alimentation saine peut donc prĂ©venir les maladies mentales et soulager certains exemple, lors d’une cure ayurvĂ©dique, la nutrition est trĂšs importante et le sĂ©jour ne cible pas uniquement le corps. GrĂące Ă  une alimentation saine et frugale et de nombreux soins, l’équilibre interne est restaurĂ© et tout est mis en Ɠuvre pour un meilleur rythme alimentaire bien-ĂȘtre par la perte de poidsIl arrive que les problĂšmes de poids soient Ă  l’origine d’une dĂ©pression lĂ©gĂšre. C’est ainsi que le jeĂ»ne peut agir contre les troubles alimentaires en rĂ©tablissant des bonnes habitudes et en menant dans la plupart des cas Ă  une perte de poids. C’est l’objectif principal des sĂ©jours minceurs SpaDreams, que vous souhaitiez plus une cure minceur diĂ©tĂ©tique ou une cure minceur intensive et plus aspect cependant trĂšs important dans ces cures de jeĂ»ne contre la dĂ©pression est l’aspect bien-ĂȘtre. Tous les sĂ©jours et les soins sont individualisĂ©s Ă  chaque curiste, afin de leur procurer une sensation de bien-ĂȘtre intĂ©rieur comme extĂ©rieur. Le but ? Qu’ils rentrent Ă  la maison en se sentant lĂ©gers et relaxĂ©s ! Le groupe MGEN poursuit son engagement et innove dans le champ de la santĂ© mentale, vĂ©ritable enjeu en matiĂšre de santĂ© publique pour les annĂ©es Ă  venir. Les traitements mis en Ɠuvre dans les Ă©tablissements MGEN traduisent l’orientation et le souci qui ont toujours Ă©tĂ© les siens, Ă  savoir la prise en compte et le respect de la personne. Il propose un rĂ©seau national coordonnĂ©, avec une offre complĂšte couvrant l’ensemble du champ de la santĂ© mentale. L'Ă©tablissement de santĂ© mentale de Lyon est situĂ© dans le 3e arrondissement et accueille au sein de son hĂŽpital de jour, tous les assurĂ©s sociaux Ă  partir de 16 ans. L'Ă©tablissement de santĂ© mentale de Lyon dispose Ă©galement d'un espace santĂ© jeunes, accueillant des jeunes de 16 Ă  25 ans en consultation. Population accueillie 48 places. Tout assurĂ© social Ă  partir de 16 ans De 16 Ă  25 ans pour l’espace santĂ© jeunes Notre Ă©quipe Psychiatres, psychologues, infirmieres, ergothĂ©rapeutes, assistante sociale, intervenante artistique. Admission L'admission relĂšve d'une dĂ©cision mĂ©dicale. Deux Ă©tablissements sur le mĂȘme site Centre mĂ©dical et dentaire de Lyon Etablissement de santĂ© mentale de Lyon Changer l'affichage de la liste de rĂ©sultat Se gĂ©olocaliser Rechercher quand je dĂ©place la carte Relancer la recherche ici 20 rĂ©sultats sur plus de 190 rĂ©sultats Hopital cheminots Centre de rĂ©adaptation, de convalescence Pass sanitaire obligatoire 55 r albert rĂ©my 91130 Ris Orangis En savoir plus Horaires Aucun horaire renseignĂ© Prestations soin de suite et de rĂ©adaptationrĂ©adaptation cardiaquemassage suĂ©doisdouche Ă  jetmassage en duorééducation en piscineurgence ORL Toutes les prestations » 14 r alphonse daudet 91210 Draveil En savoir plus Horaires Aucun horaire renseignĂ© Prestations soins de suite et de rĂ©adaptation gĂ©riatriquesoin de suite et de rĂ©adaptationrĂ©adaptation cardiaquemassage suĂ©doisdouche Ă  jetmassage en duorééducation en piscine Toutes les prestations » Note moyenne 4 sur 5 3 avis 37 paris 95600 Eaubonne En savoir plus Horaires Aucun 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